Hydrogène vert au Maghreb : un changement majeur avec une alliance

L’Algérie accélère sa transition vers une industrie plus respectueuse de l’environnement. Le pays ambitionne désormais de produire de l’hydrogène vert à grande échelle, avec un objectif de réduire l’empreinte carbone de son secteur sidérurgique. Pour porter cette vision, trois grands acteurs (Sonatrach, Tosyali Algérie et la société américaine Hecate Energy) unissent leurs efforts dans un projet inédit.

Selon le média Observalgerie, ce partenariat vise à introduire l’hydrogène vert comme une alternative durable dans la fabrication de l’acier. L’acier, matériau de base de nombreuses industries, reste l’un des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale. En remplaçant les méthodes classiques de production par des procédés utilisant de l’hydrogène propre, les partenaires espèrent transformer cette industrie lourde en un modèle plus vertueux.

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Chaque entreprise apporte une compétence spécifique au projet. Sonatrach, forte de son expérience dans les grands projets énergétiques, coordonne les aspects techniques et stratégiques liés à la production et au transport de l’hydrogène. De son côté, Tosyali, entreprise majeure dans la sidérurgie en Algérie, met à disposition son outil industriel pour intégrer ces nouvelles solutions dans ses chaînes de production. Enfin, Hecate Energy, spécialisée dans les énergies renouvelables, joue un rôle clé dans la conception des installations qui produiront cet hydrogène à partir de sources décarbonées.

Ce projet s’inscrit dans une tendance mondiale où l’hydrogène vert est vu comme un levier essentiel pour atteindre les objectifs climatiques. Pour l’Algérie, il représente aussi une opportunité économique : développer un nouveau secteur industriel, attirer des investissements étrangers et diversifier ses ressources énergétiques.

L’enjeu ne se limite pas à la production. Il s’agit également de bâtir une filière complète, de la recherche à la distribution, en passant par le stockage et la formation des compétences locales. Cela suppose une coordination étroite entre les institutions, les entreprises et les partenaires internationaux.

3 réponses

  1. Avatar de All
    All

    Algérie avance dans le domaine de énergie verte une énergie propre, contrairement à un certain voisin jaloux de la réussite de algerie qui avance et ne doit rien à personne avec c’est propre fond d argent contrairement à notre voisin jaloux qui fait appel au émirat arabe unis pour financer des projets chez eux incapable de pouvoir sortir un dollar et doit ce faire financer par des institutions financières où demander aux entreprises étrangères d avancer argent et un roi Mohammed 6 trop radin pour sortir de argent pour sont peuple préféré acheter des résidences secondaires à étrangers sur les fonds publics du peuple marocain.

  2. Avatar de Rachid
    Rachid

    Bravo à la firme internationale Sonatrach! l’Algérie dispose de ressources telluriques énormes, certaines ne sont pas encore annoncées au risque d’être convoitées par certaines puissances impérialistes, notamment la France néocoloniale, c’est pourquoi l’Algérie va doucement, mais sûrement en nouant de nouvelles alliances, hors celles connues traditionnellement, comme la Chine ne, les États-Unis, les pays scandinaves, asiatiques et bien d’autres…Bon courage à ce géant africain émergent!

  3. Avatar de Rachid
    Rachid

    Bravo à la firme internationale Sonatrach! l’Algérie dispose de ressources telluriques énormes, certaines ne sont pas encore annoncées au risque d’être convoitées par certaines puissances impérialistes, notamment la France néocoloniale, c’est pourquoi l’Algérie va doucement et sûrement en nouant de nouvelles alliances, hors celles connues traditionnellement, comme la chaîne, les États-Unis et bien d’autres…Bon courage à ce géant africain émergent!

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