La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné, mardi 23 septembre 2025, deux dossiers distincts de désertion impliquant un militaire et un policier béninois. Selon les éléments présentés à l’audience, les deux agents des forces de défense et de sécurité sont accusés d’avoir abandonné leurs postes sans autorisation. Interpellés, ils ont comparu devant la juridiction spéciale pour donner leurs explications.
Le militaire poursuivi a justifié son absence par des « pratiques occultes » dont il affirme avoir été victime. Une version jugée peu convaincante par le parquet. Quant au policier, il aurait quitté son unité pour des raisons non clairement établies, également contestées par l’accusation. Le ministère public a requis l’application des sanctions prévues par la loi, rappelant que la désertion constitue une faute grave qui menace la discipline au sein des forces armées et de sécurité. La décision de la CRIET sur ces deux dossiers sera rendue dans les prochains jours.
Il y a toujours de problèmes avec l’homme noir. Certains au Bénin désirent être l’occupant de leur poste, mais en vain! Pourquoi un homme stable, sain irait abandonner le travail qui lui sert de nourrir sa famille et éduquer ses enfants? De véritables fainéants, paresseux qui aiment le luxe, mais ne veulent pas la sueur de leur front pour l’avoir. Et quel exemple donnez-vous à vos enfants?
Mince alors!
Abandon de poste à la CRIET ? Il suffit de les radier tout simplement après quelques rappels.
Pratiques occultes dont il a été victime ??? Un plaisantin ce militaire déserteur qui mérite les rigueurs de la loi . Sans oublier son collègue policier qui n’a pas lu les règlements de la profession avant de s’engager. Tant il est vrai que ce n’est pas facile d’être policier de nos jours au Bénin. Ils sont désespérés et désemparés face aux difficultés récurrentes de la vie avec un salaire de misère.
Cherchez l’erreur