Depuis le début de la guerre en Ukraine, en février 2022, le conflit a profondément remanié les équilibres géopolitiques, laissant derrière elle un bilan humain et matériel dévastateur. Les tentatives de médiation, portées par les pays européens et, plus globalement, occidentaux, se sont succédé pour tenter d’aboutir à un cessez-le-feu durable.
Fin août 2025, une rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine à Anchorage, en Alaska, avait soulevé un espoir de progrès. Pourtant, malgré des échanges présentés comme constructifs, aucune avancée tangible n’a vu le jour, alimentant les interrogations sur la sincérité de la Russie à mettre un terme au conflit.
Une escalade militaire otujours plus importante
La Russie persiste dans son escalade militaire, multipliant les frappes quotidiennes à l’aide de centaines de drones pour frapper l’Ukraine, touchant aussi bien les populations civiles que les infrastructures critiques. Cette stratégie agressive, loin de signaler une volonté de désescalade, confirme plutôt une détermination à poursuivre les hostilités.
Une Europe déterminée à durcir sa position
Devant cette situation, les pays européens, frustrés par l’immobilisme, réclament une réponse plus musclée, jugeant les engagements russes dépourvus de crédibilité et conçus pour temporiser.
Les capitales européennes, en tête desquelles Paris et Berlin, plaident pour un durcissement des sanctions contre Moscou, afin de tarir les ressources financières qui alimentent son effort de guerre. Les recettes tirées du pétrole, pilier du budget militaire russe, sont désormais dans la ligne de mire.
La France et l’Allemagne proposent d’étendre les mesures restrictives à des acteurs majeurs du secteur énergétique, y compris ceux agissant en dehors du territoire de l’Union européenne, pour entraver les exportations russes et fragiliser l’économie de guerre du Kremlin qui repose principalement sur la vente d’hydrocarbures (d’ailleurs, les USA ont accusé l’Inde de financer indirectement le conflit en continuant d’importer du gaz et du pétrole russe).
Vers un élargissement des sanctions économiques
Un document conjoint franco-allemand préconise d’intégrer Lukoil, l’une des dernières grandes compagnies pétrolières privées russes encore épargnées, au 19e train de sanctions de l’UE. Présente en Europe via un réseau de stations-service, notamment en Belgique, l’entreprise est accusée de contribuer indirectement au financement de la guerre. Les nouvelles sanctions envisagées cibleraient aussi les intermédiaires permettant à la Russie d’écouler son pétrole sur les marchés internationaux, avec pour objectif de réduire les flux financiers soutenant l’offensive.




Ces deux clowns feraient mieux de s’occuper de ce qu’il se passe dans leur pays.
D’autant qu’en Ukraine, il mettent constamment de l’huile sur le feu tout en faisant mine de vouloir la paix. Ils veulent un Minsk 3. Les Russes ne se feront pas avoir 3 fois !
« Une Europe déterminée à durcir sa position »
Les *ouilles molles veulent durcir leurs « positions »
Ils sont trop drôles !
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