Au cœur de Cotonou, la Cité ministérielle prend forme et s’annonce comme une transformation majeure pour l’administration publique béninoise. Située sur le Boulevard de La Marina, face au Palais des congrès et à la statue de l’Amazone, cette infrastructure de grande envergure s’inscrit dans le cadre du Programme d’action du gouvernement (Pag). Ce projet, visant à regrouper vingt ministères sur un même site, ambitionne de rationaliser les dépenses publiques tout en offrant des conditions de travail optimisées pour les agents de l’État.
La centralisation des cabinets ministériels dans cette cité devrait alléger significativement les charges locatives de l’État, souvent jugées onéreuses, et permet ainsi une meilleure gestion des ressources publiques. Actuellement, les dépenses liées à la location d’immeubles administratifs pèsent sur le budget national, et cette initiative se présente comme une solution durable, avec une perspective de rentabilité et d’efficacité pour l’administration. La Société immobilière et d’aménagement Urbain (Simau), partenaire de l’État dans cette entreprise, a assuré le financement, la construction, et assurera également la gestion des installations révèlent nos confrères de Le Matinal. Les loyers versés par l’État permettront de rembourser les coûts de construction, et la Cité deviendra, à terme, propriété de l’État précise la même source.
Occupant une superficie de cinq hectares, la Cité ministérielle abrite dix bâtiments R+5 offrant 60 000 m² de bureaux modernes, conçus pour favoriser la productivité et respecter les normes d’efficacité énergétique. Les installations comprennent également des services complémentaires, tels qu’un bâtiment dédié à la restauration, un parking de plus de 500 places, et des espaces verts, soigneusement aménagés pour offrir un environnement de travail agréable et propice à la concentration.
La création de cette infrastructure n’apporte pas seulement des avantages administratifs, elle génère aussi des opportunités économiques locales, créant des emplois tout au long des étapes de sa réalisation. L’implantation de la Cité ministérielle, avec ses installations modernes et son modèle de gestion innovant, traduit une vision d’avenir pour une administration publique performante et accessible.
Ainsi, avec une approche alliant modernité, optimisation des ressources et durabilité, la Cité ministérielle de Cotonou marque une avancée notable pour l’administration béninoise, renforçant la centralisation des services tout en visant une meilleure efficacité de la fonction publique. (Rejoignez la famille des abonnés de notre chaîne WhatsApp en cliquant sur le lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x)




Aujourd’hui, c’est doux, un jour où la douceur s’invite dans nos vies. Les rayons du soleil caressent doucement la peau, et une brise légère danse entre les arbres, apportant avec elle le parfum des fleurs en pleine floraison. C’est le moment idéal pour se promener dans un parc, écouter le chant des oiseaux et savourer un café en terrasse.
Les enfants rient et jouent, leurs éclats de joie résonnant dans l’air. Les couples se tiennent la main, profitant de cette atmosphère paisible qui semble suspendre le temps. Les couleurs de la nature sont éclatantes, des verts vifs aux jaunes éclatants, créant un tableau vivant qui enchante les yeux.
Peut-être que c’est un jour parfait pour se plonger dans un bon livre, allongé sur l’herbe, ou pour partager un pique-nique avec des amis. Les conversations s’animent, les rires fusent, et chaque instant devient précieux. La douceur de ce jour nous rappelle l’importance de savourer les petites choses, de prendre le temps d’apprécier la beauté qui nous entoure.
Alors, que vous choisissiez de rester à l’intérieur ou de sortir, laissez-vous porter par cette douceur ambiante. Écoutez le murmure du vent, observez les nuages flotter paresseusement dans le ciel, et laissez votre esprit vagabonder. Aujourd’hui, c’est doux, et c’est un cadeau à chérir.
Et ; des abrutis viendront me dire ici que ce monsieur n’est pas un bâtisseur. Au-delà de cette cité ministérielle ; la cité administrative de Ahossougbeta est presque sortie de terre sur la route menant à Ouedo .
Comment peut-on se privé de ce talent pour les dix prochaines années en se cachant derrière une bible ( constitution ) . Nous devrions en tant que Beninois prendre nos responsabilités pour que ce pays ne tombe entre les mains des aventuriers et prédateurs d’en face . Ce sera l’ultime combat politique de 2025-2026.
en effet mon Cher. soit bénir.
en avant pour un Bénin en marche.