Les entreprises épinglées donnent de la voix
Me Kato Atita, avocat conseil des entreprises mises en cause dans l’affaire Cen-sad est monté au créneau hier pour démontrer l’innocence de ses clients et situer les responsabilités dans ce dossier.
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Me Kato Atita, avocat conseil des entreprises mises en cause dans l’affaire Cen-sad est monté au créneau hier pour démontrer l’innocence de ses clients et situer les responsabilités dans ce dossier.
Dans un communiqué de presse en date du 14 juillet dernier, les partis politiques constituant l’ensemble du bloc « Union fait la Nation) ont dénoncé la gestion calamiteuse du dossier de la Cen-Sad. Leurs responsables exigent toute la vérité sur cette affaire, afin de situer les responsabilités. (Lire leur déclaration)
Force Clé a arraché la commune de Covè aux Forces cauris pour un Bénin émergent qui depuis un certain temps, usaient de tous les moyens pour garder cette commune. Les trois membres de l’exécutif du conseil sont tous de la même formation politique.
Après de longues tractations de coulisses, le consensus semble revenir dans le rang des parlementaires. Ils ont pu finalement désigner dans la soirée d’hier à l’Assemblée nationale les trois représentants du parlement dans la commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) de la Lépi. Il s’agit des députés Moussa Yari Issifou des Fcbe, Valentin Houdé du G13 et Jude Lodjou de Force Clé.
Longtemps caché au peuple béninois qui réclamait la vérité sur cette scabreuse affaire, votre Journal La Nouvelle Tribune vous permet aujourd’hui d’aller dans ses méandres, de découvrir ce que les inspecteurs de l’Inspection générale d’Etat (Ige) et l’inspection générale des finances (Igf) ont trouvé d’anormal dans le dossier Cen-sad.
(Le Front des forces d’actions de l’Ouémé désavoue Yayi)
C’est à l’occasion d’une conférence publique organisée à la maison internationale de la culture de Porto-Novo que les responsables de ce mouvement politique soutenant les actions du chef de l’Etat sont montés au créneau à la suite du limogeage du ministre de l’environnement François Noudégbessi du gouvernement.
Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Marie Ehouzou, ne parle plus. Il a renoncé aux conférences de presse qu’il donnait après les voyages du chef de l’Etat. Une stratégie qui cache beaucoup de choses.
(Comment Roger Dovonou trompe Yayi)
Les populations de la commune de Covè attendent toujours l’installation de leur conseil communal du fait des maladresses du préfet Zou-Collines, Armand Nouatin. Très attaché au ministre de l’Industrie, Roger Dovonou, il tente l’impossible pour la mouvance, alors que les réalités du terrain sont autres.
Plusieurs fois reportée, la désignation des représentants de l’Assemblée nationale au sein de la commission communale de supervision (Ccs) de la Lépi et la commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) n’a pas eu lieu hier au palais des gouverneurs.
La Renaissance du Bénin est aujourd’hui dans l’impasse. Quand on connaît la forte conviction de Nicéphore Soglo et la force de caractère de Rosine Vieyra Soglo, on se demande bien comment la crise au sein de leur formation politique sera réglée. A moins que celui qui est la cause de cette crise ne se décide à prendre la porte.
Alors qu’elle était annoncée pour se tenir juste à sa descente d’avion le dimanche dernier, la réaction de Galiou Soglo suite à la démission de son père, Nicéphore Soglo de la Renaissance du Bénin, serait renvoyée aux calendes grecques.
Conformément aux prescriptions statutaires, le parti Alafia tient son conseil national le 18 juillet prochain. C’est la cité des Kobourou qui accueille la rencontre. Mais déjà, il faut souligner que le samedi 11 juillet dernier, le bureau exécutif national du parti, sous la direction de son secrétaire général, M. Alassane Séidou, a passé aux peignes fins la situation politique actuelle.
Une commission d’enquête présidée par M. Stanislas Pognon a été mise sur pied par le Conseil extraordinaire des ministre du vendredi dernier sur la rocambolesque affaire Cen-sad. Ce qui ne manque pas de susciter des inquiétudes et surtout des interrogations sur le bien-fondé de ladite commission.
Le cadet des fils Soglo sera face aux hommes des médias ce jour, selon son entourage. L’objectif de cette sortie médiatique est d’apporter une certaine clarification sur la crise familiale qui se joue actuellement dans le foyer de Nicéphore et Rosine Soglo et, par ricochet à la Renaissance du Bénin (Rb), parti créé par la mère.
(La loi sur le médiateur en étude ce jour au parlement)
Pour une seconde fois, les députés ne sont pas parvenus à désigner leurs représentants dans la commission communale de supervision (Ccs) de la Lépi et dans la commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
L’actualité n’a pas laissé indifférent les membres du Groupe d’étude et de recherche sur la démocratie et le développement économique et social en Afrique (Gerddes-Afrique). Lors d’une rencontre avec la presse hier, le président de ce groupe, Me Sadikou Alao a relevé que les scandales politico financiers qui éclaboussent le régime du changement ne sont que la partie visible de l’iceberg et que le premier responsable en est le chef de l’Etat.
Prévue pour ce jeudi, l’installation du conseil communal de Covè s’est tenue. Les Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe) et le préfet des départements du Zou et des Collines ont brillé par leur absence, alors que les conseillers Force-clé et de la Renaissance qui constituent la majorité absolue de ce conseil attendaient de pied ferme leurs adversaires sur le terrain.
Le parti la Renaissance du Bénin (Rb) va-t-elle se diviser à cause de l’affaire Galiou Soglo ? La présidente du parti, Rosine Soglo refuse de signer la décision du bureau politique qui exclut Galiou Soglo du parti.
Le président du Nouvel élan pour la patrie (Nep-Mixalodo), Paul Gnimagnon, chef de la brigade douane aéroport, a été purement et simplement relevé de ses fonctions hier par un arrêté ministériel. Selon la même décision, il est automatiquement mis à la disposition du ministère de l’Economie et des finances.
Mais, c’était prévisible.
Les installations des chefs de village ont pris fin mardi dernier dans la commune de Sèmè-Podji. Le Parti du renouveau démocratique (Prd) et leurs alliés, c’est-à-dire le Groupe des indépendants de Sèmè-Podji (Gisp) et la liste Alléluia, se sont taillés la part de lion. Ils ont raflé 26 sur 38 postes de chefs village contre 12 seulement pour le maire Mathias Gbèdan et les Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe).
L’interpellation du chef de l’Etat dans le dossier gestion de la Sonapra suscite toujours des polémiques au sein de la classe politique nationale. Au moment où ce dossier est programmé pour être examiné hier en plénière, le député Rachidi Gbadamassi est monté au créneau à travers une conférence de presse donnée hier au palais des gouverneurs à Porto-Novo pour blanchir en quelque sorte le chef du gouvernement Boni Yayi et même l’ancien directeur général de cette société et actuel ministre des travaux publics Nicaise Fagnon.
« Gare aux coordonnateurs de projets, qui dans l’exécution des différents projets, ne feront pas observer une telle attitude au risque de se faire remplacer », a déclaré hier à Possotomé, le ministre de la Recherche prolifère et minière, Barthélemy Kassa, lors de l’ouverture du séminaire consacré à la revue à mi parcours de l’exécution des plans de travail annuel, de passation de marchés au titre du premier semestre de l’année en cours. Il a menacé de sanctionner les coordonnateurs de projets qui feront mal leur travail.
Malgré l’importance du dossier relatif à l’interpellation du chef de l’Etat sur l’affaire gestion de la Sonapra, la présidence de la commission des lois et des échanges de l’Assemblée nationale Hélène Aholou Kèkè ainsi que son vice-président Zachari Yolou ne sont pas arrivés au parlement.
Les deux points inscrits à l’ordre du jour de la séance plénière d’hier n’ont pu être examinés malgré la présence effective de plusieurs membres du gouvernement dont le ministre chargé des relations avec les institutions et le ministre de l’agriculture.
(Chaudes empoignades entre députés de l’opposition et ceux de la mouvance)
Deux points sont inscrits à l’ordre du jour de la séance plénière de ce jour au parlement. Il s’agit d’une part de l’examen de l’interpellation du chef de l’Etat dans le cadre de la gestion financière à la Sonapra et d’autre part du dossier relatif à la désignation des représentants de l’Assemblée nationale dans les commissions communales de supervision de la Lépi et dans celle chargée de l’informatique.
« […] Le processus ayant conduit à la désignation de Orden Alladatin comme représentant de la société civile a respecté les dispositions de la charte en matière de transparence et de participation des représentants des composantes et des délégués des organisations de la société civile au niveau des départements.»
Comme on pouvait s’y attendre, le gouvernement est monté au créneau hier pour apporter des clarifications sur le compte rendu du Conseil des ministres qui a étudié le rapport de l’Inspection générale d’Etat (Ige) qui met en cause l’ancien ministre des finances Soulé Mana Lawani en ce qui concerne la réhabilitation du Centre international de conférence de Cotonou (Cic) et du Palais des Congrès.
(Ils implorent la clémence du chef de l’Etat pour le développement de leur localité)
« C’est l’occasion plus que jamais pour les fils et filles de la 20è circonscription électorale, de la vallée et plus précisément de Dangbo de clamer haut et fort que jamais et à aucun moment, nous n’avons mandaté personne ni pour injurier le chef de l’Etat, ni pour développer des stratégies dilatoires afin de ralentir voire estomper les belles actions de développement entreprises par le chef de l’Etat »
Le président de l’ As Tonnerre de Bohicon, Valère Glèlè, hier sur l’émission «Cartes sur table » de Océan Fm a révélé la gestion opaque du comité exécutif de la Fédération béninoise de football (Fbf) par le président Anjorin Moucharafou et a déclaré que le ministre Galiou Soglo est « le plus mauvais ministre des sports qu’on a connu ».
Le conseiller à la haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac) 3éme mandature, Irenée Agossa a lancé ce samedi dans la commune de Calavi, le mouvement politique « le Nationaliste ». C’était en présence de militants, militantes et des invités.
Le Nouvel élan pour la patrie (Nep-Mihalodo) de Paul Gnimagnon, après sa récente gigantesque sortie politique contre le pouvoir du président Boni Yayi au palais des congrès à Cotonou, se prononcera sur la situation politique nationale, samedi prochain à l’Infosec.
Les députés membres de la commission d’enquête parlementaire d’information et de contrôle sur la gestion des fonds de micros crédits se sont réunis hier au palais des gouverneurs à Porto-novo pour poursuivre avec leurs investigations sur le dossier.
Depuis quelques jours, des réunions se sont multipliées au sein des conseillers rebelles du Prd et de la Fcbe qui ambitionnent depuis peu de déposer l’actuel maire d’Adjarra Albert Gogan de son fauteuil.
Bien d’observateurs indiquent que le Bénin amorce une phase critique de son existence avec les élections législatives et présidentielle de 2011. Mais déjà, bien qu’on soit encore à deux ans de ces échéances, on assiste à des envolées verbales qui frisent l’extrémisme et qu’il convient de dénoncer dès maintenant afin que l’irréparable ne soit atteint.
Le leader du Parti social démocrate a soixante-dix ans (70) aujourd’hui. Au-delà de tous les bons vœux qu’on lui souhaite, il convient de faire remarquer qu’à partir de ce jour, le Renard de Djakotomè ne peut plus briguer la magistrature suprême du Bénin conformément à la Constitution.
Les pluies intermittentes qui s’abattent sur le pays en cette saison pluvieuse n’ont pas épargné la cité des Aïnonvis. Même si le phénomène est aussi criard dans la ville de Cotonou, ce n’est pas le cas dans la ville de Porto-Novo.
Après les hommages rendus par la représentation nationale la semaine dernière à feu Paulin Tomanaga, décédé il y a quelques semaines à la suite d’un accident tragique de la circulation, le président de l’Assemblée nationale Mathurin Coffi Nago a invité officiellement son suppléant Donatien Wohou à s’installer en lieu et place de son titulaire décédé feu Paulin Tomanaga.
Il n’y a plus de week-end où les collaborateurs du chef de l’Etat ne mettent sur pied des mouvements de soutien dans leur région d’origine respective. Une situation qui, selon des observateurs avertis de la vie politique constitue le premier facteur d’échec de Boni Yayi à la présidentielle de 2011.
Suite aux propos tenus par le ministre des travaux publics Nicaise Fagnon à Dassa-Zoumè vis-à-vis de certains hommes politiques du camp adverse, jugés anti-démocratiques, provocateurs et portant atteintes aux libertés nationales, certains députés de l’opposition, 14 au total, ont interpellé il y a quelques semaines le chef de l’Etat par rapport au comportement de ce membre du gouvernement.
Huit députés de l’opposition, notamment Eric Houndété, Lodjou Jude, Eric N’Da Antoine N’Da, Dominique Sohounhloué, Louis Vlavonou, Edmond Zinsou, Georges Bada et Raphael Akotègnon, viennent d’interpeller le gouvernement du Dr Boni Yayi à travers une question orale au gouvernement relative aux violations des principes de neutralité imposés au gouvernement par la loi fondamentale du Bénin à propos du fonctionnement de l’administration de manière à préserver la cohésion nationale.