Retrouvez dans le présent article tout notre dossier d’enquêtes réalisé par des journalistes de La Nouvelle Tribune avec l’appui d’OSIWA (Open Society Initiative for West Africa). Nos journalistes ont été déployés sur toute l’étendue du territoire pour réaliser des enquêtes exclusives sur des faits qui se produisent au Bénin mais aussi sur des sujets d’intérêts national. Restez connecté
4, 5 et 6 Novembre – Droits humains : Les journalistes de LNT outillés sur l’investigation journalistique
Pendant trois jours, le site d’informations « LA NOUVELLE TRIBUNE » a initié une séance de renforcement de capacités à l’intention des journalistes du média. La formation déroulée les 4, 5 et 6 novembre 2020 à Cotonou a porté sur le journalisme d’investigation axées sur les questions liées à la réalisation des droits humains. Le programme est financé par la fondation sous régionale Open Society Initiative for West Africa (OSIWA). Lire la suite en cliquant ici.
(ENQUETE) Interdiction de chargement et déchargement hors parcs à Bohicon : Ce qui fait résister à la décision communale
Bohicon, commune du centre du Bénin située à une centaine de kilomètres de Cotonou. La ville carrefour dispose de cinq gares routières, les unes occupées et d’autres non fonctionnelles où encore en pleine rénovation. En raison de nombreuses plaintes parvenues aux nouvelles autorités locales, la municipalité à travers un arrêté, a interdit tout chargement et déchargement hors parcs sur le territoire de la commune. Une décision à laquelle les acteurs concernés disent ne pas être associés et qui a fait des victimes et continue de cristalliser les attentions. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Covid-19 et éducation à Cotonou : le droit à la vie des apprenants en souffrance
En pleine crise sanitaire de la Covid-19, les mesures de protection des apprenants contre la pandémie ne sont pas respectées dans les écoles. Quelles sont les raisons de cette situation dommageable à la santé des apprenants autant que de leurs parents? Collège d’enseignement général de Sègbèya dans le troisième arrondissement de Cotonou. Ici, les mesures de protection des apprenants contre la pandémie de la Covid-19 laissent à désirer. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Multiplication des cas de suicides : Retour sur une folle saison de malheur et de désespoir
Depuis quelques mois, on assiste à une prolifération des cas de suicide dans le septentrion. Si le phénomène est mondial et répandu dans tous les continents, c’est sa fréquence dans certaines régions du septentrion qui inquiète. Et à ce sujet, il y a une part d’incompréhensions à élucider. Les cas de suicides sont de plus en plus déplorés au Bénin. En témoignent les tout récents cas survenus dans la partie septentrionale. En début de cette année 2020, un enseignant s’est donné la mort en se jetant dans un puits dans la commune de Djougou. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Violences faites aux femmes dans la Donga : Femmes et enfants souffrent le martyr
La lutte contre les violences faites aux femmes et les autres formes de violences sexistes a connu de francs succès au Bénin ces dernières années qui ont contribué à la réduction des cas. Mais dans la Donga -département situé au nord ouest du Bénin- le phénomène a encore la peau dure. Ceci à cause de la montée de l’islam radicale, de l’influence des pesanteurs socioculturels et du chômage accru dans la région.Chérita a un visage peu rayonnant en cette froide matinée du lundi 16 novembre 2020. Elle vit aujourd’hui seule avec un petit garçon d’un an et demi au quartier Baréi à l’entrée de Djougou dans une habitation précaire. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Abandon des logements sociaux : Sèmè-Kpodji offre une image de la désolation
Construits depuis 2013 sur financement grâce à un financement du Vénézuela du Président Hugo Chavez, 40 logements sociaux sont dans un état de délabrement avancé dans la commune de Sèmè-Podji. Depuis sept ans, ces logements ne semblent intéresser personne. Et voici les raisons. A quelques mètres du site de pèlerinage des fidèles de l’Eglise du christianisme céleste ( Ecc), dans la commune de Sèmè-Kpodji, il y a des logements sociaux construits, « Don du Venezuela », sous la gestion des autorités béninoises. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Maraîchage: la mort programmée d’une filière à Grand Popo
À Grand Popo, commune côtière et frontalière située à une centaine de kilomètres de Cotonou, hommes et femmes de tous âges font et vivent du maraîchage. La filière a longtemps été florissante et a mobilisé une main d’œuvre importante. Mais depuis quelques années, quoique rentable, elle est confrontée à d’énormes difficultés qui, si on n’y prend garde, risquent d’entraîner sa mort. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Lutte contre la Covid-19 : Bohicon en rébellion contre les gestes barrières
L’apparition de la pandémie du coronavirus au Bénin a littéralement changé les habitudes de bon nombre de citoyens. A Bohicon, commune située au centre du Bénin, les gestes barrières sont foulés au pied. Les forces de l’ordre censées tenir rigueur semblent passer à côté de leur mission républicaine. Enfants et adultes accordent tous sans exception, légèreté au port de masques. Le lavage des mains reste cependant, le cadeau des soucis d’une population résolument à la quête du pain quotidien. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Abandon de la prise en charge des dialysés au CNHU : Silence, 200 morts au nom et des « réformes » !
Depuis janvier 2018, le gouvernement a suspendu la prise en charge des nouveaux malades d’insuffisance rénale chronique non agents permanents de l’État à l’unité de dialyse du Centre national hospitalier universitaire ( Cnhu) de Cotonou. Faute de moyens financiers, ces insuffisants rénaux meurent un à un comme dans un poulailler atteint par la grippe aviaire. En cause, une réforme mercantile du gouvernement de laisser les dépenses de prise en charge des dialysés sur le dos de l’hôpital. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Désarroi des transporteurs à Djougou : Quand le Dieu « camion » lâche ses fils !
Après l’islam, le camion est leur seconde religion, clament-ils partout. Mais la fermeture continuelle de la frontière entre le Bénin et le Nigeria gâte tout aujourd’hui à Djougou, une ville où le transport des marchandises en direction des pays de l’hinterland s’exerce de génération en génération, de père en fils, d’une famille à une autre, d’une rue à une autre. La déchéance actuelle dans le secteur se vit comme un véritable drame dans cette ville carrefour au confluent de six entrées internationales. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Pêche maritime artisanale à Grand-Popo : Une activité héréditaire avec ses hauts et ses bas
Au Bénin, la pêche maritime artisanale est une activité héréditaire qui se transmet de génération en génération. Bien qu’elle n’offre pas de gros revenus, elle fait vivre une grande partie des populations côtières du Bénin. A Grand-Popo, une ville côtière du sud-ouest du Bénin, à proximité de la frontière togolaise réputée pour cette activité, la filière bat de l’aile. Bien qu’elle continue de nourrir son homme, elle a connu des hauts et des bas et mérite d’être réorganisée. «Ici, la pêche est affaire d’héritage. Mon grand-père l’a légué à mon père et lui à son tour me l’a légué », confie Maurice Attiogbé, un pêcheur rencontré ce lundi 16 novembre 2020 sur la plage de Grand-Popo. Lire la suite en cliquant ici.
(ENQUETE) L’automédication : les dangers d’une pratique séculaire
Ignorant le danger que cela représente pour leur santé, de nombreuses personnes ont recours à l’automédication à Parakou. Habitués à se faire servir des comprimés accompagnés de la tisane aux bords des voies à travers la ville, des abonnés à cette pratique ont bien voulu évoquer les motivations de leur choix suicidaire. Médecin néphrologue au Centre hospitalier et universitaire départementale (CHUD) Borgou, le Dr Séraphin Ahoui alerte toutefois sur les conséquences désastreuses, tant sur le plan sanitaire qu’économique, de cette pratique séculaire. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Saline traditionnelle à Avloh et Awlihoué : Les femmes pérennisent un héritage ancestral
Au Bénin, des femmes de tous âges se battent de jour comme de nuit pour conserver une pratique ancestrale: la saline traditionnelle. Loin de Djègbadji à Ouidah, les femmes travaillent le sable salé à Avloh et à Awlihoué, deux hameaux de Grand-Popo, pour produire traditionnellement le sel, un élément qui donne du goût aux plats dans les villes et villages du Bénin. Sans rechigner, malgré ces temps de pandémie qui a occasionné une mévente, elles nourrissent l’espoir d’un lendemain meilleur dans une activité qu’elles ont héritée et qu’elles comptent transmettre à leur progéniture. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Sécurisation de l’état-civil à Bohicon : Population et administration complices de la lenteur
Au Bénin, l’état-civil laisse à désirer. A l’instar de plusieurs communes, Bohicon n’offre pas un meilleur exemple. La lenteur administrative ajoutée à la négligence des populations n’offrent pas un meilleur service d’état civil. Pourtant, la loi encadre le secteur et réprime les contrevenants à certaines de ses dispositions. Lire la suite en cliquant ici
(ENQUETE) Ouaké : Le paradoxe du marché Kassoua
Il existe et s’anime depuis plus de 50 ans. Le marché international de Kassoua, commune de Ouaké, département de la Donga au nord du Bénin, brasse aujourd’hui des milliards de FCFA en terme de chiffres d’affaires au grand bonheur des commerçants des pays frontaliers, dont le Togo, le Niger, le Nigeria et le Burkina-Faso. Mais il demeure très précaire dans l’ensemble de ses installations avec ses multiples hangars de fortune faits de bois et de tôles usagers. Un gros taudis qui sert à faire de bonnes affaires aux commerçants d’Afrique au grand dam de la commune qui l’abrite. Lire la suite en cliquant ici
OSIWA, toujours des negres de maison ignorants de leur histoire au service de leur maitre blanc. OSIWA est l apendice de OPEN-Society du Criminel George Soro. “Mon peuple souffre par manque de connaissance de son histoire”, disait le feu Prof Cheihk Anta Diop et on continue de voir certains africains comme ceux de OSIWA confirmer cette realité..