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Enquête LNT / OSIWA : le dossier complet

Retrouvez dans le présent article tout notre dossier d’enquêtes réalisé par des journalistes de La Nouvelle Tribune avec l’appui d’OSIWA (Open Society Initiative for West Africa). Nos journalistes ont été déployés sur toute l’étendue du territoire pour réaliser des enquêtes exclusives sur des faits qui se produisent au Bénin mais aussi sur des sujets d’intérêts national. Restez connecté

4, 5 et 6 Novembre – Droits humains : Les journalistes de LNT outillés sur l’investigation journalistique

Pendant trois jours, le site d’informations « LA NOUVELLE TRIBUNE » a initié une séance de renforcement de capacités à l’intention des journalistes du média. La formation déroulée les 4, 5 et 6 novembre 2020 à Cotonou a porté sur le journalisme d’investigation axées sur les questions liées à la réalisation des droits humains. Le programme est financé par la fondation sous régionale Open Society Initiative for West Africa (OSIWA). Lire la suite en cliquant ici.

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(ENQUETE) Interdiction de chargement et déchargement hors parcs à Bohicon : Ce qui fait résister à la décision communale

Bohicon, commune du centre du Bénin située à une centaine de kilomètres de Cotonou. La ville carrefour dispose de cinq gares routières, les unes occupées et d’autres non fonctionnelles où encore en pleine rénovation. En raison de nombreuses plaintes parvenues aux nouvelles autorités locales, la municipalité à travers un arrêté, a interdit tout chargement et déchargement hors parcs sur le territoire de la commune. Une décision à laquelle les acteurs concernés disent ne pas être associés et qui a fait des victimes et continue de cristalliser les attentions. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Covid-19 et éducation à Cotonou : le droit à la vie des apprenants en souffrance

En pleine crise sanitaire de la Covid-19, les mesures de protection des apprenants contre la pandémie ne sont pas respectées dans les écoles. Quelles sont les raisons de cette situation dommageable à la santé des apprenants autant que de leurs parents? Collège d’enseignement général de Sègbèya dans le troisième arrondissement de Cotonou. Ici, les mesures de protection des apprenants contre la pandémie de la Covid-19 laissent à désirer. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Multiplication des cas de suicides : Retour sur une folle saison de malheur et de désespoir

Depuis quelques mois, on assiste à une prolifération des cas de suicide dans  le septentrion. Si le phénomène est mondial et répandu dans tous les continents, c’est sa fréquence dans certaines régions du septentrion qui inquiète. Et à ce sujet, il y a une part d’incompréhensions à élucider. Les cas de suicides sont de plus en plus déplorés au Bénin. En témoignent les tout récents cas survenus dans la partie septentrionale. En début de cette année 2020, un enseignant s’est donné la mort en se jetant dans un puits dans la commune de Djougou. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Violences faites aux femmes dans la Donga : Femmes et enfants souffrent le martyr

La lutte contre les violences faites aux femmes et les autres formes de violences sexistes a connu de francs succès au Bénin ces dernières années qui ont contribué à la réduction des cas. Mais dans la Donga -département situé au nord ouest du Bénin- le phénomène a encore la peau dure. Ceci à cause de la montée de l’islam radicale, de l’influence des pesanteurs socioculturels et du chômage accru dans la région.Chérita a un visage peu rayonnant en cette froide matinée du lundi 16 novembre 2020. Elle vit aujourd’hui seule avec un petit garçon d’un an et demi au quartier Baréi à l’entrée de Djougou dans une habitation précaire. Lire la suite en cliquant ici

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(ENQUETE) Abandon des logements sociaux : Sèmè-Kpodji offre une image de la désolation

Construits depuis 2013 sur financement grâce à un financement du Vénézuela du Président Hugo Chavez, 40 logements sociaux sont dans un état de délabrement avancé dans la commune de Sèmè-Podji. Depuis sept ans, ces logements ne semblent intéresser personne. Et voici les raisons. A quelques mètres du site de pèlerinage des fidèles de l’Eglise du christianisme céleste ( Ecc), dans la commune de Sèmè-Kpodji, il y a des logements sociaux construits, « Don du Venezuela », sous la gestion des autorités béninoises. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Maraîchage: la mort programmée d’une filière à Grand Popo

À Grand Popo, commune côtière et frontalière située à une centaine de kilomètres de Cotonou, hommes et femmes de tous âges font et vivent du maraîchage. La filière a longtemps été florissante et a mobilisé une main d’œuvre importante. Mais depuis quelques années, quoique rentable, elle est confrontée à d’énormes difficultés qui, si on n’y prend garde, risquent d’entraîner sa mort. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Lutte contre la Covid-19 : Bohicon en rébellion contre les gestes barrières

L’apparition de la pandémie du coronavirus au Bénin a littéralement changé les habitudes de bon nombre de citoyens. A Bohicon, commune située au centre du Bénin, les gestes barrières sont foulés au pied. Les forces de l’ordre censées tenir rigueur semblent passer à côté de leur mission républicaine. Enfants et adultes accordent tous sans exception, légèreté au port de masques. Le lavage des mains reste cependant, le cadeau des soucis d’une population résolument à la quête du pain quotidien. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Abandon de la prise en charge des dialysés au CNHU : Silence, 200 morts au nom et des « réformes » !

Depuis janvier 2018, le gouvernement a suspendu la prise en charge des nouveaux malades d’insuffisance rénale chronique non agents permanents de l’État à l’unité de dialyse du Centre national hospitalier universitaire ( Cnhu) de Cotonou. Faute de moyens financiers, ces insuffisants rénaux meurent un à un comme dans un poulailler atteint par la grippe aviaire. En cause, une réforme mercantile du gouvernement de laisser les dépenses de prise en charge des dialysés sur le dos de l’hôpital. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Désarroi des transporteurs à Djougou : Quand le Dieu « camion » lâche ses fils !

Après l’islam, le camion est leur seconde religion, clament-ils partout. Mais la fermeture continuelle de la frontière entre le Bénin et le Nigeria gâte tout aujourd’hui à Djougou, une ville où le transport des marchandises en direction des pays de l’hinterland s’exerce de génération en génération, de père en fils, d’une famille à une autre, d’une rue à une autre. La déchéance  actuelle dans le secteur se vit comme un véritable drame dans cette ville carrefour au confluent de six entrées internationales. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Pêche maritime artisanale à Grand-Popo : Une activité héréditaire avec ses hauts et ses bas

Au Bénin, la pêche maritime artisanale est une activité héréditaire qui se transmet de génération en génération. Bien qu’elle n’offre pas de gros revenus, elle fait vivre une grande partie des populations côtières du Bénin. A Grand-Popo, une ville côtière du sud-ouest du Bénin, à proximité de la frontière togolaise réputée pour cette activité, la filière bat de l’aile. Bien qu’elle continue de nourrir son homme, elle a connu des hauts et des bas et mérite d’être réorganisée. «Ici, la pêche est affaire d’héritage. Mon grand-père l’a légué à mon père et lui à son tour me l’a légué », confie Maurice Attiogbé, un pêcheur rencontré ce lundi 16 novembre 2020 sur la plage de Grand-Popo. Lire la suite en cliquant ici.

(ENQUETE) L’automédication : les dangers d’une pratique séculaire

Ignorant le danger que cela représente pour leur santé, de nombreuses personnes ont recours à l’automédication à Parakou. Habitués à se faire servir des comprimés accompagnés de la tisane aux bords des voies à travers la ville, des abonnés à cette pratique ont bien voulu évoquer les motivations de leur choix suicidaire. Médecin néphrologue au Centre hospitalier et universitaire départementale (CHUD) Borgou, le Dr Séraphin Ahoui alerte toutefois sur les conséquences désastreuses, tant sur le plan sanitaire qu’économique, de cette pratique séculaire. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Saline traditionnelle à Avloh et Awlihoué : Les femmes pérennisent un héritage ancestral

Au Bénin, des femmes de tous âges se battent de jour comme de nuit pour conserver une pratique ancestrale: la saline traditionnelle. Loin de Djègbadji à Ouidah, les femmes travaillent le sable salé à Avloh et à Awlihoué, deux hameaux de Grand-Popo, pour produire traditionnellement le sel, un élément qui donne du goût aux plats dans les villes et villages du Bénin. Sans rechigner, malgré ces temps de pandémie qui a occasionné une mévente, elles nourrissent l’espoir d’un lendemain meilleur dans une activité qu’elles ont héritée et qu’elles comptent transmettre à leur progéniture. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Sécurisation de l’état-civil à Bohicon : Population et administration complices de la lenteur

Au Bénin, l’état-civil laisse à désirer. A l’instar de plusieurs communes, Bohicon n’offre pas un meilleur exemple. La lenteur administrative ajoutée à la négligence des populations n’offrent pas un meilleur service d’état civil. Pourtant, la loi encadre le secteur et réprime les contrevenants à certaines de ses dispositions. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Ouaké : Le paradoxe du marché Kassoua

Il existe et s’anime depuis plus de 50 ans. Le marché international de Kassoua, commune de Ouaké, département de la Donga au nord du Bénin,  brasse aujourd’hui des milliards de FCFA en terme de chiffres d’affaires au grand bonheur des commerçants des pays frontaliers, dont le Togo, le Niger, le Nigeria et le Burkina-Faso. Mais il demeure très précaire dans l’ensemble de ses installations avec ses multiples  hangars de fortune faits de bois et de tôles usagers.  Un gros taudis qui sert à faire de bonnes affaires aux commerçants d’Afrique au grand dam de la commune qui l’abrite. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Non-fonctionnement des feux tricolores à Cotonou : Incivisme et lourdeur administrative pénalisent les populations

( La libre circulation des personnes âgées mise à mal) Du carrefour ”Le Bélier” jusqu’à celui de la Sobebra à Akpakpa sur la voie inter-Etats Cotonou-Porto-Novo, les feux tricolores ne fonctionnent plus depuis près de dix ans. Les investigations ont permis de noter que la lourdeur administrative liée à la passation des marchés publics et l’incivisme de certains individus sont à la base de cet état de choses qui crée des accidents et rend difficile la traversée de la voie à tous. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Mesures de lutte contre la COVID-19 à Grand Popo : Faute de moyens, des écoles lâchent prise

Le Bénin continue de mener la lutte contre la propagation de la pandémie du coronavirus. Avant la rentrée scolaire 2020-2021, les ministères en charge de l’éducation notamment le ministre de l’enseignement maternel et primaire Salimane Karimou ont édicté les règles à suivre dans les écoles et collèges du Bénin sur toute l’étendue du territoire nationale. Mais malheureusement, ces règles ne semblent pas être trop suivies. Surtout dans la commune de Grand Popo où il y a assez de légèretés.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Insécurité dans l’Atacora : Quand la pègre défie Natitingou !

La ville de Natitingou, dans le département de l’Atacora, a connu ces dernières semaines,  de graves actes d’insécurité orchestrés par de vils  individus armés. Ils  abattent froidement des gens pour leur arracher des motos et autres biens. Si l’accalmie semble revenir depuis peu avec le déploiement d’un renfort de forces armées sur le terrain et autres mesures prises, la psychose demeure visible au sein de la population; très peu de ces délinquants armés ayant été mis aux arrêts. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Banikoara : Quand l’or blanc appauvrit ses producteurs

Insuffisance d’intrants, manque de matériels adéquats et de main d’œuvre, prêts à taux prohibitif, mauvaise gestion des fonds, surendettement…à Banikoara, l’or blanc ne brille plus tellement. Au lieu d’être source de prospérité, il prolétarise ses producteurs dont certains semblent être condamnés par le cycle infernal des dettes. Enquête sur une filière proclamée prospère mais dont les acteurs vivent entre précarité et endettement. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Donga : Sèmèrè, entre isolement et pauvreté

Une population particulière, une longue histoire, une solidarité interne inégalable, un esprit de guerrier… Sèmèrè, une grande agglomération rurale du Nord Bénin, département de la Donga, est peu connue du béninois lambda, mais beaucoup plus par le peuple ghanéen, avec qui elle entretient des liens séculaires très étroits depuis des centaines d’années.  Presque isolée, cette terre béninoise et sa communauté demeurent  aussi très pauvres. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Services des urgences du Chd de Porto-Novo : Quand « tuer » devient la règle !

Les urgences du Chd/Op offrent un service exécrable. Face à un personnel démotivé, débordé et surtout décidé à « tuer » que de « sauver », les patients qui s’y rendent n’ont hélas pas assez de choix. Beaucoup parmi eux finissent à la morgue du même hôpital,  ce qui fait de ce service le premier mouroir de cet hôpital censé être un de référence. Le vendredi 27 novembre 2020, il sonnait environ 10 heures du matin lorsque nous faisons notre entrée aux urgences du Centre hospitalier départemental et universitaire de l’Ouémé. C’est un monde impressionnant qui nous accueille sur le parvis. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Exploitation des enfants dans les champs de coton : un esclavage des temps modernes

Chaque année, la période d’octobre à février est celle par excellence de la récolte du coton dans les bassins cotonniers du Bénin. Dans la commune de Banikoara, dans le département de l’Alibori, la main d’œuvre qu’exige cette activité se fait de plus en plus rare. Ce qui conduit nombreux de ses producteurs, à recourir à des enfants scolarisables pour sauver leur production au péril de l’avenir de ces derniers. Une véritable exploitation des enfants, en violation flagrante du Code de l’enfant qui à la peau dure à Banikoara.Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Marché de Covè : Quand la collecte des taxes divise usagers et mairie

A Covè, la mairie perçoit des taxes auprès des différents vendeurs, vendeuses, gestionnaires de boutiques et propriétaires de hangars du principal marché de la commune. Mais la collecte se déroule parfois avec beaucoup de brutalité et cela irrite les contribuables. Le seul grand marché de la commune de Covè dans la région Agonli au Bénin est animé tous les cinq(05) jours. Le marché accueille plusieurs usagers venus de tous les coins du pays. Des vendeurs de tissus aux revendeuses de jarres pétries, des bouchers aux tisserands, tout le monde y à sa place avec une catégorisation de l’espace.  Les esplanades de ventes à l’intérieur du marché et aux abords sont soigneusement répertoriées.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Gestion des déchets ménagers : A Comè, le droit à un environnement sain reste une chimère

La gestion des déchets ménagers a pris une place prépondérante dans le débat public ces deux dernières décennies au Bénin. Dans l’arrondissement central de Comè dans le département du Mono, ceci s’est traduit par l’élaboration de nouveaux dispositifs réglementaires et l’implication croissante du secteur privé dans la gestion  des déchets. Mais, dans un conteste de décentralisation la gestion des déchets, malgré le système mis en place, rencontre encore beaucoup de difficultés surtout avec la paupérisation grandissante.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Système éducatif à Parakou : Les effectifs pléthoriques, l’autre gangrène

Les établissements d’enseignement maternel, primaire et secondaire de Parakou sont confrontés à des effectifs pléthoriques d’apprenants dans les salles de classes. Une descente effectuée, le 19 décembre dernier, a permis de faire l’amer constat. Tel un serpent de mer, le problème se pose sur preque l’ensemble du territoire de la municipalité, comme dans plusieurs autres villes du Bénin. Une situation qui non seulement viole les dispositions de l’arrêté ministériel qui fixe le nombre d’apprenants dans les salles de classes, selon les différents ordres de l’enseignement, n’est pas sans conséquences tant pour les apprenants, que pour les enseignants. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Atacora – Donga : Comment l’alcool frelaté détruit la jeunesse

Dans l’Atacora/Donga, l’alcool frelaté devient l’une des causes des décès fréquents des jeunes. Cette boisson dangereuse, fabriquée à base des produits chimiques, cancérigènes et dangereux, continue d’être consommée à une très grande échelle. Les nombreuses sensibilisations menées n’ont pu amener ces jeunes à abandonner la consommation de cet alcool qui tue en silence. Pendant ce temps, ces commerçants véreux qui l’importent continuent à faire de gros bénéfices en laissant les jeunes mourir. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Oisiveté à Pobè: La loto et le commerce comme tremplin

Face à la rareté des activités politiques – dont certains vivaient – les jeunes de Pobè s’occupent autrement.  Beaucoup parmi eux ont jeté leur dévolu sur les jeux de hasard à la loterie et le petit commerce vers le géant de l’est. Ita-Pobè est un quartier de la commune de Pobè qui s’anime tous les jours. Déjà aux environs de 10 heures du matin, il est aisé de constater la déambulation de quelques jeunes préoccupés par la recherche de la pitance du jour. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Transhumance dans la région Agonlin : Ouinhi, le grenier de la terreur

Située à 160 km environ de Cotonou, la commune de Ouinhi accueille, à l’instar de plusieurs autres du Zou, les éleveurs transhumants. Mais ici la politique communale a opté pour les refouler. Mais les bergers transhumants ne l’entendent pas de cette oreille. Ils s’installent souvent clandestinement avec leurs bêtes qui détruisent les récoltes et engendrent des conflits. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Vallée de l’Ouémé : Agonlin-Lowé, la vie après la décrue

Agonli-Lowe est l’un des villages de l’arrondissement d’Azowlissè dans la commune d’Adjohoun. Situé à environ trois kilomètres du carrefour principal d’Azowlisse, on y arrive après avoir emprunté quelques sentiers tortueux.  Dans ce petit village de la vallée de l’Ouémé, la vie est au rythme des saisons. Depuis la décrue, les habitants s’adonnent aux activités champêtres principalement le maraîchage et la culture de contre-saison.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Mutilations génitales féminines dans le Borgou : une pratique qui résiste à la loi et au temps

L’excision dans la partie septentrionale du Bénin est une pratique culturelle séculaire. Des milliers de jeunes filles et femmes ont été et continuent d’être victimes de cette pratique avec des séquelles sur leurs vies intimes. C’est d’ailleurs, au regard de l’ampleur des dégâts que le Bénin s’est doté d’une loi qui interdit l’excision. Mais le constat est là, le phénomène perdure, elle continue de se pratiquer. Les exciseuses et autres acteurs ont changé de stratégies pour agir sans craindre les représailles. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Bénin : Comment l’Etat a contraint les sportifs à 9 mois de chômage

Le mercredi 23 décembre 2020, le ministre des Sports, Oswald Homéky a annoncé la réouverture des stades sur toute l’étendue du territoire national. Cet allègement intervient après neuf mois de chômage imposés à tous les sportifs à cause du coronavirus. Neuf mois sans travail. Neuf mois sans salaire. Neuf mois de misère et de stress. Voilà ceux à quoi les sportifs Béninois en général et les joueurs de football en particulier ont été confrontés depuis mars au mercredi 23 décembre 2020. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Don de sang au Bénin : la générosité légendaire des peuples Lokpa et Foodio

Un engagement collectif qui s’enracine dans les comportements au fil des ans. Dans le nord du Bénin, en particulier dans la Donga, les peuples Lokpa et Foodio, majoritairement natifs de Ouaké et ses environs, sont réputés comme d’excellents « donneurs de sang ». Depuis des décennies, ils s’organisent volontairement et se mobilisent pour fournir le précieux liquide, sauvant  des milliers de vies humaines. Un engagement parfois émoussé par des frustrations et quelques indignations. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Accouchement à domicile : une pratique aux risques élevés de décès maternels

L’accouchement à domicile est une pratique qui perdure dans le Borgou et l’Alibori. Quoique clandestin, le phénomène est connu et continue de se perpétuer dans plusieurs communes de ces départements. Malgré les risques auxquels elles s’exposent, de nombreuses femmes préfèrent accoucher dans des conditions précaires à domicile, qu’à l’hôpital ou un centre de santé. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Grossesses en milieu scolaire : voici pourquoi le mal persiste dans l’Atacora Donga

Les grossesses précoces en milieu scolaire constituent l’une des plus grandes menaces à la scolarisation des filles. En dépit des efforts consentis ces dernières années par le gouvernement et la société civile, les chiffres sont en nette progression. Dans l’Atacora-Donga où le phénomène est alarmant, la démission parentale, la mauvaise interprétation des prescriptions religieuses, le regard communautaire sur la femme, la pauvreté sont autant de facteurs qui concourent à sa persistance. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Interdiction du châtiment corporel dans les établissements au Bénin : Feu vert à l’indiscipline et à la dérive

Une note circulaire du ministre des enseignements secondaire, techniques et de la formation professionnelle  en date du 22 novembre 2018  a interdit le châtiment corporel dans les établissements scolaires du Bénin. Depuis, les élèves s’adonnent à tous les caprices et dérives conscients qu’ils sont devenus des intouchables. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Visite Technique des véhicules au Bénin : un laisser aller préjudiciable à la sécurité routière

Conformément à la loi, les véhicules en circulation ont l’obligation de subir la visite technique dont l’objectif est de vérifier leur état. Selon plusieurs sources, cette visite ne prend que la forme d’une formalité. L’inconscience de certains agents et le système de concussion qui y règne, laissent passer les véhicules les plus défectueux, responsables d’accidents fréquents sur nos voies. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Sèmè-kpodji : Comment les recettes échappent à la mairie

L’évasion fiscale devient monnaie courante dans la commune de Sèmè-Kpodji et plus précisément par rapport aux recettes engrangées dans la caisse communale. Une situation qui crève l’œil et qui échappe aux contrôles des autorités communales. Retour sur un mécanisme qui fait perdre d’énormes recettes à la mairie. Nous sommes au quartier Djèffa dans la commune de Sèmè-kpodji. La scène se produit aux environs de 14 heures sous un soleil ardent qui annonçait l’avant veille de la nativité du Christ. Une jeune dame aux cheveux crépus se plaignait à haute voix contre un groupuscule d’agents qui serait envoyé par la mairie de Sèmè-kpodji. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Insalubrité des places publiques à Cotonou : l’incivisme et l’échec des réformes mis en cause

L’insalubrité persistante des places publiques à Cotonou est essentiellement due à l’incivisme et surtout aux dysfonctionnements de là Société de gestion des déchets et de la salubrité du Grand-Nokoué créée par le gouvernement, l’année écoulée. Selon ses prérogatives, c’est elle qui a en charge la gestion des déchets en lieu et place des mairies du Grand-Nokoué (Cotonou, Abomey-Calavi, Sémé-Podji, Porto-Novo et Ouidah). Que faire pour corriger le tir ? Lire la suite en cliquant ici

(Enquête) L’accès aux pompes funèbres à Agbangnizoun : Ces « morgues traditionnelles » qui font la loi

La conservation traditionnelle des corps est une pratique ancestrale culturelle et cultuelle qui résiste aux temps dans la commune d’Agbangnizoun. En dépit des nombreuses mesures d’interdiction et les multiples campagnes de sensibilisations, la commune conserve ses « morgues traditionnelles » au mépris de l’hygiène et des risques sanitaires. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Atacora/Donga : La traite des enfants qui tue l’école béninoise et l’économie locale

Combattue depuis des années par plusieurs acteurs, Etat, Ongs, partenaires au développement et autres, la traite des enfants peine à disparaitre des pratiques quotidiennes dans certaines régions du Bénin. Le phénomène va de mal en pire dans l’Atacora/Donga où des indélicats convoyeurs d’enfants destinés à l’exploitation dans des pays comme le Niger, le Togo, le Nigeria ou le Ghana sont régulièrement interceptés en chemin. Les parents n’en sont pas moins complices. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Accès aux soins primaires au Bénin : Bopa à la traîne

Ville située au sud-ouest du Bénin, Bopa fait partie des six communes du département du Mono. A Bopa, l’accès aux soins de santé élémentaires est un défi quotidien pour les populations notamment celles situées dans la zone dite de «terres noires ». Dans le silence, un drame humain se déroule à quelques 103 kilomètres de Cotonou surtout en période de pluie.   Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Prostitution via les réseaux sociaux à Parakou : Nouvelle filière, nouveaux défis

La ville de Parakou, comme beaucoup d’autres du Bénin, regorge des maisons closes qui abritent des prostituées. Face à l’avènement des réseaux sociaux, elles ont changé de stratégie. Le portable a remplacé le trottoir. Une nouvelle forme de prostitution naît avec de nouveaux marchés, de nouveaux réseaux et une rentabilité à nulle autre pareille. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Bopa : L’école au creux de la vague

Au Bénin, les gouvernements qui se sont succédés ont fait de la scolarisation des enfants au primaire une priorité. Mais entre la volonté d’envoyer tous les enfants à l’école et la capacité de leur offrir un enseignement de qualité, il y a un fossé. La commune de Bopa en donne l’exemple. Le niveau des apprenants qui est en baisse de façon drastique. Il s’agit d’un problème éducatif sérieux qui nécessite des solutions urgentes.  LIre la suite en cliquant ici

(Enquête) Djidja : Si vaste, si enclavé

Avec une superficie qui fait 41,66% de la superficie du Zou, Djidja est la plus grande commune du département. Malheureusement, cet atout contraste avec un enclavement sur fond de précarité qui range Djidja au rang des communes les plus déshéritées du pays depuis les indépendances. La commune manque cruellement d’infrastructures routières et les 85000 âmes qui y vivent souffrent le martyr.  Lire la suite en cliquant ici

(Enquête) Djidja : L’eau potable, un combat de tous les jours

Pénalisée par le manque d’infrastructures, Djidja l’est aussi pour l’eau. Cette denrée de première nécessité est très rare dans cette commune rurale.  Malgré les efforts, la quête permanente d’eau de consommation dans cette cité est un combat de tous les jours. L’eau potable reste une denrée rare dans la commune de Didja. Depuis des décennies, les populations ont souffert le martyr pour s’approvisionner. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Fabrication de tam-tam : quand Adjarra perpétue une vieille tradition

La commune d’Adjarra encore appelé cité des tambours est une commune très riche dans la fabrication, la vente et l’exportation des tambours. Il s’agit d’un savoir-faire ancestral qui se perpétue de génération en génération. Au fil des ans, cet art a connu beaucoup d’évolutions aussi. Si jadis, leurs grands parents passaient des mois pour fabriquer un tam-tam, aujourd’hui il faut moins et l’activité ne manque pas d’avoir du succès.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Assistance et aide aux douaniers : Le Klébé indésirable mais toujours utile

Maintes fois interdit par la direction générale des douanes du Bénin, l’usage des indicateurs de douaniers continue toujours. Chargés d’aider les douaniers à traquer les contrebandiers, ils sont toujours opérationnels. Et ceci à cause de plusieurs raisons. Jean-Luc est un Klébé ou indicateur de douane au poste des douanes de Ahouicodji. Ce jeudi 28 janvier 2021, sur l’axe Cotonou-Ouidah, il arrête les transporteurs de marchandises et commerçants. Il fouille même les sacs et colis. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Gestion des carrières à Houéyogbé : la mairie défaillante, l’environnement en péril

A Houéyogbé, une commune située à 83 Km de Cotonou, dans le département du Mono, la gestion des carrières est bien un problème pour les autorités communales. C’est un secteur qui échappe presque totalement au contrôle de la mairie. Tout se passe dans ce secteur comme si la maire n’est pas consciente de la manne qu’elle peut engranger en organisant le secteur. Mais, depuis décembre, la lueur est venue du gouvernement qui a exigé une réorganisation du secteur afin de contrôler les avantages et les conséquences d’une telle activité.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Cantines scolaires dans le Borgou : les difficultés d’un programme salutaire

A l’instar des écoles d’autres localités du Bénin, elles sont nombreuses celles des 8 communes du département du Borgou à être également pris en compte par le Programme national d’alimentation scolaire intégré (PNASI), communément appelé cantines scolaires. L’objectif poursuivi est l’amélioration de la qualité de l’éducation et le maintien des enfants à l’école. Mais, un peu plus de trois ans après, la mise en œuvre diligente et efficiente du programme n’est pas sans rencontrer quelques difficultés. Lire la suite en cliquant ici

(Enquête) Les Canaris frigos d’Agbangnizoun : Une solution endogène à la conservation de fruits et nourritures

Connaissez-vous les canaris frigos d’Agbangnizoun ? Depuis des lustres, la poterie qui est un art ancestral dans cette commune, permet de fabriquer des canaris qui ont presque les propriétés d’un frigidaire moderne. Les femmes qui y sont très actives fabriquent ces canaris qui servent à conserver aliments et fruits pendant des jours.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Utilisation des pesticides dans la production du coton : De graves menaces pour les producteurs

A l’instar des médicaments pour l’organisme humain, les pesticides permettent d‘obtenir de bon rendement de la production cotonnière, mais leur usage accru met en péril la santé des hommes et constituent une sérieuse menace pour l’environnement. Dans plusieurs communes productrices les conséquences de l’utilisation de ces pesticides sur l’environnement et sur les hommes sont légion.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Transport des étudiants de l’UAC : la démission lente et programmée de l’État

Depuis l’arrivée au pouvoir du président Patrice Talon, l’investissement de l’État dans l’amélioration des conditions de vie et de travail des étudiants s’amenuise. Le transport des étudiants est l’un des secteurs les plus touchés. Les investigations menées ont montré que plusieurs lignes (circuits de transport) sont réduites à six contrairement à ce qui se passait sous les régimes précédents. Faute de moyens financiers, l’État n’assure que le service minimum à la communauté universitaire. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Gestion des ordures ménagères à Dassa-Zoumè : l’enfouissement, l’autre alternative

Dassa-Zoumè, porte d’entrée des collines est le chef-lieu de ce département de six communes. Avec ses dix arrondissements, la commune traverse d’énormes difficultés en ce qui concerne la gestion des déchets solides ménagers. Elle regorge de petits dépotoirs d’ordures qui pullulent le long des artères en dépit des nombreuses sensibilisations faites à l’endroit des populations. L’incinération des ordures et leurs enfouissements sont les pratiques les plus courantes à Dassa au mépris des règles environnementales et sanitaires. Lire la suite en cliquant ici

(Enquête) Microcrédit à Dassa-Zoumè : La « Banque » alternative et accessible pour les femmes

Dans la commune de Dassa-Zoumè, les institutions de micro finance ont pion sur rue. A la place des banques très rares et peu accessibles, elles proposent aux femmes une gamme variée de services afin de les aider à acquérir l’autonomie financière. Mais malgré ces accompagnements financiers, les difficultés sont légion et entravent l’épanouissement des bénéficiaires. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Donga : Ces émigrés qui ont développé Djougou

Au Koweït, en Algérie, en Lybie et ailleurs, des fils de Djougou travaillent dur pour gagner leurs vies. Ils envoient également dans leur ville natale une manne financière importante qui fait le bonheur de leurs familles et de l’économie locale. Retour sur ces fils de la ville-carrefour qui prennent des risques inouïs pour des destinations risquées et des boulots difficiles juste pour survivre et pour faire honneur à leurs parents. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Pollution de la rivière Klou à Logozohè : un scandale environnemental passé sous silence

A Logozohè dans la commune de Savalou, il se joue un grave péril écologique. L’usine de fabrication d’alcool à base du manioc a, au fil de quelques années d’activités, pollué tout le milieu ambiant. La rivière Klou et toutes les terres cultivables aux alentours de l’usine sont pollués. En dehors de quelques protestations éparses des populations riveraines, ce drame écologique est presque passé sous silence.  Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) Déscolarisation des filles : Toviklin sur une pente glissante

Aller à l’école et y rester jusqu’à la fin du processus est encore un luxe dans maintes régions rurales du Bénin. Pour plusieurs raisons, les filles sont contraintes à l’abandon. C’est le cas à Toviklin où le taux de déscolarisation des filles monte de façon vertigineuse en dépit des acteurs faits par le gouvernement et les acteurs locaux. Lire la suite en cliquant ici

(ENQUETE) L’Igname à Savalou : Au-delà de la fête, une culture et une histoire

L’igname encore appelée « tévi » est bien connue au Bénin et est l’un des aliments les plus consommés au Bénin. Le tubercule constitue le deuxième produit vivrier après le maïs avec une production de plus de 2.500.000 tonnes. Consommée sous plusieurs formes à savoir pilé, bouilli, frit, grillé, en gâteau ou en ragout, en cossette, l’igname est un symbole cultuel et culturel du pays Mahi. Sa récolte fait l’objet un rituel sacré où elle est bénie, cuisinée et partagée.  Lire la suite en cliquant ici

Une réponse

  1. Avatar de Bido
    Bido

    OSIWA, toujours des negres de maison ignorants de leur histoire au service de leur maitre blanc. OSIWA est l apendice de OPEN-Society du Criminel George Soro. « Mon peuple souffre par manque de connaissance de son histoire », disait le feu Prof Cheihk Anta Diop et on continue de voir certains africains comme ceux de OSIWA confirmer cette realité..

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