Santé : « 1 béninois sur 4 a une pression artérielle élevée » selon Didier Agossadou

Réduire la prévalence des maladies non transmissibles au Bénin est un impératif pour les acteurs du système sanitaire. Raison pour laquelle les autorités déconcentrées, les cadres du ministère et les partenaires techniques se sont donnés rendez-vous à Cotonou ce jour.Ceci dans le cadre des assises techniques sur le sujet. Selon le représentant du ministre de la santé présent à ces assises, Didier Agossadou, les résultats issus de l’enquête nationale « Steps » de 2015 sur les maladies non transmissibles inquiètent.

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L’hygiène, une solution efficace contre le virus Lassa

Les fièvres hémorragiques virales, telle le Lassa, peuvent être évitées. Le secret, c’est l’hygiène à en croire Delphine Kponou Alagbé, la responsable de l’hygiène et de l’assainissement dans la zone sanitaire de Tchaourou.Une des régions au nord-est du Bénin qui a enregistré de nombreux cas lors des épidémies de fièvres hémorragiques à virus Lassa survenues au Bénin de 2014 à 2017, mais heureusement terminées depuis avril dernier.

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Virus Lassa au Bénin: témoignage du chef service des urgences de l’hôpital de Papané

«Il y avait un médecin, un homme de Dieu, le docteur Kotchoffa. Il nous traitait, et je peux dire que c’est à cause du docteur Kochoffa que Vito –un infirmier également rescapé du lassa Ndlr- et moi, sommes vivants». Ce témoignage du jeune aide-soignant Francis Dossoumon de l’hôpital Saint-Martin de Papané, qui a survécu à la fièvre hémorragique à virus Lassa en 2016, est revenu chez d’autres rescapés et acteurs de la riposte à cette épidémie, dont la fin a été déclarée le 14 avril 2017 par le ministre de la santé, Dr Alassane Seidou. Dr Jacques Emalin Idjakotan Balogoun Kotchoffa, de son nom complet, ce «médecin et homme de Dieu» dont il s’agit, est en réalité le Chef service des urgences médico-chirurgicales de l’hôpital Saint-Martin de Papané (l’hôpital de zone de Tchaourou).

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Aspects sexuels et socio-familiaux de l’épilepsie en Afrique subsaharienne (Partie 2)

En Afrique, l’épilepsie est perçue comme une maladie irrationnelle, un mal surnaturel et sacré. Cette perception de la maladie exerce des conséquences considérables sur sa prise en charge dans les sociétés Africaines.

Elle est assimilée à la possession, à l’impureté, à la contagiosité, à l’hérédité, à la folie, au signe de la divinité. Ces croyances font que l’épilepsie reste un tabou jusqu’à ce jour dans l’opinion courante, une maladie dont il ne faut pas approcher le sujet et dont il ne faille pas aller chercher ni la cause ni la guérison chez un médecin.

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Bénin : Les mémoires d’un infirmier rescapé du Lassa à Tchaourou

Au contact des malades de la fièvre hémorragique à virus Lassa lors des épidémies survenues au Bénin de 2014 à 2017, certains agents de santé ont été contaminés et en ont perdu la vie.

Mais Vito François Coffi, infirmier diplômé d’Etat à l’hôpital Saint Martin de Papané, l’hôpital de zone de Tchaourou dans le département du Borgou, est l’un des ‘’revenants’’. Retour sur un vainqueur du Lassa.

Sur les traces du triste épisode des épidémies de la fièvre hémorragique à virus Lassa au Bénin de 2014 à 2017, nous arrivons ce lundi 19 juin 2017, à l’hôpital Saint Martin de Papané dans la commune de Tchaourou. C’est dans le département du Borgou, à 380 kilomètres environs de Cotonou ou 60 kilomètres au sud de Parakou. En cette première matinée de semaine dans ce célèbre centre de l’histoire desdites épidémies au Bénin, nous rencontrons entre autres, Vito François Coffi. 45 ans révolus, l’infirmier diplômé d’Etat en service ici depuis près d’une quinzaine d’années, nous reçoit l’air très heureux. Heureux pas seulement de sa blouse blanche qu’il lui sied, mais surtout, comprend-t-on très tôt, de vivre encore après avoir souffert du Lassa. «Je suis totalement heureux parce que ceux qui sont morts ne sont pas plus pécheurs que moi ; mes enfants et ma famille aujourd’hui me voient» déclare-t-il. Mais derrière son sourire, se cache dans sa mémoire, le souvenir d’une période noire de sa carrière professionnelle. Il l’a connue avec le Lassa, un nom qui sonne toujours mal dans ses oreilles. «Lassa me rappelle un passé amer. Amer dans ce sens que je serais aussi parti de ce monde comme mes collègues et beaucoup d’autres patients. Mais je suis encore avec les miens. C’est la volonté divine.» confie-t-il la tête baissée.

Le 3 janvier 2016 à Papané

«Nous avions eu un contact avec une patiente en son temps, un 3 janvier précisément. Quelques jours plus tard, je me suis senti vraiment mal : une hyperthermie et une asthénie très intenses» se souvient-t-il encore.

C’est le début de l’épisode dans lequel il nous replonge ce matin. Le Directeur actuel de l’hôpital, Dr Emile Kouton Cossi qui était à l’époque médecin en chef et Président du comité de lutte contre les infections nosocomiales, s’en souvient aussi très bien. Il relate : «Je me rappelle bien de ce lundi 3 janvier 2016 à l’hôpital St Martin de Papané. J’étais de garde quand l’infirmier de kassouala –village frontalier avec le Nigéria-, nous a appelés vers 10h. Elle a dit ‘’docteur, j’ai une femme enceinte qui fait la fièvre depuis 15 jours ; je vais vous l’envoyer. Vers 15h la femme est venue et je l’ai examinée personnellement. On l’a ensuite hospitalisée. Le lendemain, la gynécologue qui a fait la garde du mardi au mercredi m’a dit : ‘’Dr Kouton, la dame s’est mise à saigner d’un peu partout dans la nuit, elle est aux urgences’’. Le mercredi, la dame est décédée. Une à deux semaines après, on a constaté que toute une série du personnel de l’hôpital a commencé à avoir la fièvre, précisément ceux qui étaient de garde du mardi au mercredi. Les infirmiers, la technicienne de laboratoire, l’aide soignant. Tout ce monde avait un signe en commun : la douleur de la gorge. Le 21 janvier, l’infirmier de la pédiatrie, qui théoriquement n’a pas eu contact avec la dame est décédé. C’est de là qu’on a alerté les autorités, et que la direction départementale de la santé (Dds) a dépêché une équipe.».

Jusque-là, aucune certitude sur la cause de la mort des deux agents. C’est cette équipe de la Dds qui 5 jours après les investigations et l’analyse des prélèvements, a révélé qu’il s’agissait d’un cas de fièvre hémorragique à virus Lassa. Le jour de l’annonce fut une journée noire à l’hôpital. «C’est comme si le ciel nous était tombé sur la tête, c’était la désolation» raconte le Dr Kouton.

L’instinct et le fameux stylo rouge qui rachetèrent François

Entre-temps, François qui s’était rendu dans son village est rentré à Papanè, et ceci contre la volonté de ses parents qui ont voulu l’envoyer à l’hôpital de Comè dans le département du Mono. Ce fut sa première chance.

«C’est au moment où j’ai effectué un voyage sur Grand-Popo, mon village natal, que la crise a gagné en envergure. Les parents ont décidé de m’envoyer à l’hôpital de zone de Comé, mais comme j’avais sur moi les analyses des collègues avec qui je constitue normalement une équipe de garde, et que j’avais déjà commencé à prendre en consultation avant mon voyage, j’ai refusé. J’ai me suis obligé à revenir ici.»

Revenu effectivement à Papané, François n’est pas resté inactif. Il a trouvé la formule pour signaler l’urgence. C’était le début de sa résurrection. «De retour ici, j’ai fait appel au médecin de garde et actuel directeur. Il a lancé les bilans. J’avais déjà les bilans lancés par le Dr Kotchoffa sur moi, mais que je n’avais pas faits. Je me suis donc saisi du stylo rouge et ai écrit urgent, urgent, urgent, puis je l’ai fait transmettre au labo. Je dirai en résumé que c’est l’instinct qui m’a guidé.» confie le rescapé.

21 jours de traitement comme des années de prison

Les résultats d’analyse de François ont été positifs. Du coup, il fut isolé. «Quand la situation est arrivée, nous avons choisi un endroit que nous avons séparé du reste du personnel et des malades.» informe Gervais Nassouhouèdé, surveillant général de l’hôpital, chargé de la sécurité des agents entre autres. C’était précisément dans le service de chirurgie du Dr Cyrille Agoli-Agbo. Cet isolement a été pour François une prison d’après son récit qu’il livre en ces termes : « A l’hôpital ici, je fais déjà parti des plus anciens. Je suis familiarisé avec beaucoup de gens. Je suis souvent demandé pour des consultations services ou conseils. Mais pendant cette période, je me suis vu éloigner de tout le monde, même ceux qui me semblaient les plus chers ; tout le monde a pris peur, paniqués. C’est un souvenir amer». Il soupire.

C’était en réalité un scandale au sein du personnel, d’après Dr Jacques Emalin Idjakotan Balogoun Kotchoffa, Chef service des urgences médico-chirurgicales.

«Certains ont cessé de travailler, d’autres rendaient plus visite à leurs collègues, or en période de maladie on a plus que jamais besoin de ses proches».

Le Dr Kotchoffa est celui qui a vraiment été au chevet des malades du Lassa, et grâce à qui, avec l’aide de Dieu, l’infirmier François a été déclaré guéri 21 jours après. Il retrouva son sourire. «C’était une joie, une consolation de regagner ma famille, ma maison et mes enfants.» Le reste du personnel aussi retrouve dès lors la quiétude et une fierté. «Quand nous les voyons aujourd’hui, nous sommes fiers d’avoir un personnel qui a été au front, qui a fait la maladie et qui s’en est sorti », déclare le Directeur. «C’est comme des revenants. Les mots nous manquent pour qualifier cela. On se dit simplement que Dieu est grand, et on s’en réjouit», renchérit le Dr Jean Paul Leno, médecin chef du service de médecine général de l’hôpital.

L’irrécupérable

La victime de son côté, ne s’en réjouit pas totalement car, elle a perdu à jamais son physique d’avant le Lassa.

«Je ne suis plus solide et endurant parce que depuis ce moment, j’ai eu un problème de lombalgie, je traîne encore ce mal» regrette-t-il.

La cause à l’en croire, c’est qu’il

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Zoom sur l'épilepsie en Afrique subsaharienne (partie 1)

L’épilepsie est une maladie qui a traversé des millénaires. Cependant son origine reste complexe et les difficultés pour la traiter subsistent. Son expression symptomatique particulière donne lieu à des conceptions qui s’opposent entre superstition et rationalité.En Afrique en l’occurrence, cette vieille maladie fait généralement plus objet de mysticisme que de mal essentiellement relevant du domaine de la santé.

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Bénin : « Il y a 5 neurochirurgiens pour 10 millions d’habitants » selon Félix Atadokpèdé

Dressant les statistiques d’une récente étude menée par des experts Sud africains sur la prise en charge en neurochirurgie en Afrique, le directeur du service de santé de l’armée béninoise a évoqué des chiffres qui donnent matière à réfléchir.A la faveur de la troisième conférence de la session militaire de la fédération mondiale des sociétés neurochirurgicales, qui a pour thème la neurochirurgie en situation d’exception, le colonel Félix Atadokpèdé a fait une révélation.

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Tabagisme : Vaste campagne de sensibilisation dans les collèges au Bénin

Les méfaits du tabac sont nombreux sur ses consommateurs, encore plus, quand il s’agit des apprenants. Car, le tabagisme compromet également le rendement scolaire. Le gouvernement du Bénin inscrit en priorité la lutte contre le tabagisme en milieu scolaire. Une vaste campagne de sensibilisation est lancée dans les collèges et lycées, sur toute l’étendue du territoire national.

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Santé sexuelle au Bénin: remise en service de la ligne jaune 96 00 00 01

Elle a été remise en service le vendredi 19 mai 2017 au cours d’une cérémonie de lancement au siège de l’Ong à Calavi. Le «dispositif téléphonique national d’écoute, d’information, de soutien et de conseil en matière de promotion de la santé et des droits sexuels et reproductifs» de l’Ong Ceradis, a été relancé vendredi dernier à la faveur d’une cérémonie officielle à Calavi.

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Mono-Couffo (Bénin) : une centaine d'enfants meurent chaque année, faute de sang

Les départements du Mono et du Couffo font partie des départements les mieux couverts en terme de transfusion sanguine au Bénin. Mais, à côté de cette performance, environs 200 patients, principalement des enfants souffrant du paludisme, meurent chaque année faute de sang dans les formations sanitaires de ces deux départements.

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Bénin : A peine 10% de la population dispose d’une assurance maladie

Un grand chantier ouvert aux autorités gouvernementales. Le droit à la santé est nécessaire, mais sa jouissance demeure problématique.C’est ce qui a motivé la quarantaine de personnes ressources venues de trois pays de l’Afrique de l’Ouest (la Côte d’Ivoire, le Sénégal et le Bénin) pour un atelier régional de deux jours dans la capitale économique Cotonou.

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Ebola : une nouvelle épidémie inévitable selon l'OMS malgré le vaccin

L’épidémie d’Ebola a frappé sévèrement trois pays d’Afrique de l’Ouest : la Guinée, le Liberia et la Sierra LeoneEn Afrique de l’Ouest, bien que l’épidémie d’Ebola ait été déclarée terminée dans plusieurs pays, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) tient à avertir les populations que la menace n’est pas complètement écartée. 

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CHD Borgou-Alibori : Le gouvernement rejette une offre de don de matériel sanitaire de la France

Le ministre de la santé Alassane Séidou, pour justifier ce refus, déclare que le matériel offert par la mairie d’Orléans est obsolète. Depuis 2015, sur demande de la municipalité de Parakou, la mairie d’Orléans a fait un don de matériel sanitaire au Centre Hospitalier Départemental CHD Borgou-Alibori. Le matériel n’est toujours pas réceptionné par l’hôpital à ce jour. En effet, le gouvernement béninois a rejeté ce don pourtant nécessaire au bon fonctionnement du CHD Borgou-Alibori.

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Pour l'homme, le moustique plus dangereux que le serpent

A ce jour on peut compter plus de 3546 espèces de moustiques dans le monde réparties en 11 genres dans le monde. Contrairement à ce que pense beaucoup de personnes, le moustique est l’animal le plus dangereux bien devant les grands prédateurs. Prendant que les serpents tuent 60.000 personnes les moustiques quant à eux ont tué 830.000 personnes par des transmissions de maladies.

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Bénin : « L’incidence du paludisme est de 14,6% » selon Yémalin Alexis Tchevoede

Le coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), Yémalin Alexis Tchevoede a fait le bilan des actions menées au Bénin.Invité sur l’émission 5/7 matins de la télévision nationale ce mardi 25 avril 2017, date retenue par la communauté internationale pour la célébration de la journée internationale de la lutte contre le paludisme, le coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), Yémalin Alexis Tchevoede a fait le bilan des actions menées au Bénin.

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Des recherches en cours pour une lutte efficiente contre le Paludisme au Bénin

Alexis YEMALE: il faut dire que les recherches constituent également une priorité pour nous dans la lutte contre le paludismeEn marge de la journée mondiale de lutte contre le paludisme, le Programme National de Lutte contre le Paludisme au Bénin (PNLPB) annonce une série de recherches sur toute l’étendue du territoire. Ces recherches s’inscrivent dans le cadre de mesures structurelles en vue de combattre efficacement la maladie et d’obtenir des résultats probants.

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« Sur 100 personnes atteintes du cancer…plus de la moitié en décèdent » selon Tiburce Zannou

Considéré il y a quelques années encore comme la maladie d’une certaine catégorie de gens, le cancer fait de plus en plus de ravages …A la faveur du troisième congrès africain sur la prise en charge de la douleur en cancérologie, qui a réuni plusieurs spécialistes venus d’horizons divers pendant deux jours à Cotonou, il a été question de réfléchir sur la possibilité d’offrir une prise en charge globale aux personnes atteintes d’affection cancéreuse.

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Maladies liées à l’hygiène : Des milliers de morts et 50 milliards FCfa perdus par an

Les activités commémoratives de la 10ème édition de la Journée nationale de l’hygiène et de l’assainissement (Jnha) au Bénin, ont été lancées samedi 15 avril 2017 à la place GohoLa triste réalité dans le secteur hygiène et assainissement à la base au Bénin, a de lourdes conséquences notamment humaines et financières, mises en lumière samedi 15 avril dernier, journée nationale de l’hygiène et de l’assainissement, pour sensibiliser sur les solutions dont la première reste l’engagement de chaque citoyen à changer de comportement.

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CHU-MEL Cotonou : Un bâtiment inauguré pour la prise en charge de la fistule obstétricale

La fistule obstétricale est une perforation entre le vagin et la vessie ou le rectum. Elle provoque la fuite d’urine et de matière fécale par le vagin.Conscient des peines des femmes souffrantes de la fistule obstétricale, le club « Iner Win« , à travers l’Association « Michel Gestel pour l’Enfance » en partenariat avec la Fondation « Sébastien Adjavon Germain« , a inauguré hier un bâtiment d’accueil au profit des malades du Centre Hospitalier Universitaire de la Mère et de l’Enfant Lagune (CHU-MEL) de Cotonou.

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Bénin : Les médecins contractuels du Cnhu bientôt en grève

Réunis en assemblée générale hier, ces médecins du Collectif des médecins contractuels et conventionnés du Cnhu-Hkm dénoncent l’attitude de leur autorité hiérarchiqueInjustice, intimidation, mauvais traitement et menace de démission. Les jours à venir s’annoncent très difficiles pour le centre hospitalier universitaire de référence du Bénin. Le ministre de la santé connaît parfaitement le sujet. Il est très attendu et devra faire bouger une maison ô combien difficile à réformer.

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Paludisme en Afrique: un cas de résistance à l'artemisinine, antipaludéen le plus efficace

Le principal antipaludéen connu, l’artemisinine n’a pas spécialement été efficace contre le traitement d’un patient atteint de paludisme. Une première depuis la mise sur le marché de ce traitement. Faut-il s’inquiéter de cette information? Vraisemblablement oui! L’artemisinine n’étant pas seulement un traitement efficace contre le paludisme, mais LE traitement le plus efficace connu à ce jour. … Lire la suite

Ouganda : MamaOpe la veste qui permet de diagnostiquer la pneumonie

En Ouganda, une invention est en passe de sauver des centaines de vie et permettre de faire évoluer la science et les diagnostics de la pneumonie. Son nom MamaOpe (l’espoir de la mère). Mis au point par 5 étudiants (Olivia Koburongo, Brian Turybagye, Besufekad Shifferaw, Viola Akangumya et Angella Namwase) dans le cadre d’un projet … Lire la suite

Les secrets de l’Allaitement maternel exclusif à bébés multiples

Dans le département du Plateau où le taux de la pratique de l’Allaitement Maternel Exclusif est le plus faible au Bénin et où certains parents pensent qu’il est impossible de respecter cette prescription alimentaire mondiale déjà avec un seul enfant, des mères de jumeaux y ont foi et la suivent strictement. A la découverte de leurs secrets qui rendent possible l’AME avec plusieurs bébés à la fois.  

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L’Union européenne soutient la réponse au cholera au Bénin

En réponse à l´épidémie de choléra qui sévit dans certains départements du Bénin, la Commission européenne a débloqué 57.311 EUR (37,5 millions de FCFA) en fonds humanitaires pour venir en aide aux populations les plus affectées et les plus à risque. L’assistance humanitaire contribuera à protéger 500 000 personnes, en particulier les habitants des communes les plus affectées par l’épidémie, qui a fait 9 morts et presque 300 cas jusque septembre.

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Allaitement maternel exclusif (Ame) : De quoi sauver des milliers d’enfants à zéro franc

Autour du thème «Allaitement maternel : clé du développement durable», la semaine mondiale de l’allaitement maternel célébrée chaque année du 1er au 7 août au plan mondial, a eu lieu depuis mardi au Bénin, C’est pour sensibiliser la population béninoise sur la pratique de l’allaitement maternel notamment exclusif dont le taux est peu satisfaisant au Bénin alors qu’elle pourrait sauver ces milliers de nouveau-nés qui perdent la vie chaque année.

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